AEGIS, Défenseurs le la Liberté, le Bouclier de la Liberté, mais ce n’est pas toujours comme cela que les gens ont appelé cette organisation quand elle a commencé ses opérations…mais parfois vous pouvez gagner un certain respect.
AEGIS est un curieux mélange : un mélange d’enquêteurs très entraînés et les Forces Spéciales les plus lourdement armés dans le monde. Leur mission : le contre-terrorisme. AEIGS est la réponse du gouvernement, à l’intérieur des frontières américaines, au super-crime. Lorsqu’une menace suprahumaine menace les vies humaines et la liberté, AEGIS est la 1ere, et souvent, la meilleure ligne de défense.
Bien que parfois, un monde cynique ait du mal à y croire, les agents d’AEGIS sont les gentils. La plupart d’entre eux sont des patriotes prêts à tout moment à risquer leur vie pour protéger l’Amérique et ses citoyens. Ils sont loin d’être parfaits, mais là aussi, même les super-héros ne sont pas aussi bons.
Histoire d’AEGIS
L’histoire d’AEGIS est l’histoire d’une lutte au XXe et au début du XXIe siècle. L’organisation a rencontré de nombreux défis dés sa création et pas seulement des ennemis de l’Amérique. Mais AEGIS a toujours su surmonter tous les obstacles de son chemin dans son désir de sauvegarde de la nation.
Mon nom est Jack, et je suis un Patriote
Pour beaucoup d’engagés, la Seconde Guerre Mondiale fut un creuset où ils entrèrent comme des garçons immatures et en émergèrent comme le symbole vivant du courage. Jack Simmons était l’un des hommes qui passa le plus de temps dans ce creuset, l’icône de la liberté de l’Amérique, le Patriote. Il combattit de nombreuses batailles pendant la guerre contre les troupes nazies et contre les suprahumains nazi comme Nacht-Krieger, Totenkopf et l’infâme Wilhelm Kantor.
Après la guerre, Simmons voulait poursuivre Kantor qui avait fuit en Amérique du Sud afin de terminer le travail. Il se rappelait la façon dont Nacht-Krieger avait massacré les Alliés de la Liberté pour couvrir la fuite de Kantor, mais l’armée refusa de croire que Kantor valait la peine qu’on le poursuive. Jack fut transféré à l’OSS où il travailla en temps qu’agent secret pendant plusieurs années. Il continua son activité de super-héros parrallement mais Freedom City était calme dans les années après guerre.
En 1950 Simmons signa pour le statu-quoi sanglant. Il pensait à une victoire rapide, mais le Patriote découvrir que la lutte était plus amère et intense que pendant la seconde guerre mondiale. Il recruta une nouvelle équipe de suprahumains et les entraîna comme force de combat dans l’esprit des super-héros de la seconde guerre mondiale. Baptisée la Brigade Atomique (parce que Simmons pensait qu’ils seraient une alternative à l’utilisation de l’arme nucléaire), l’équipe fut l’une des plus oubliées des équipes de super-héros de l’histoire. Après quelques succès au début, 4 membres furent tués pendant la défense du Réservoir de Chosin en décembre 1950. Malgré les efforts de Simmons, l’équipe ne fut jamais intégralement reformée. La Corée devint un bourbier où les super-héros ne pouvait pas faire la différence.
Après le cessez-le-feu, le Patriote retourna aux Etats-Unis où il fut recruté par la CIA. Malheureusement, d’autres évènements allaient rattraper la vie de Jack. Pendant qu’il combattait les communistes en Asie, un ennemi totalement différent menaçait l’Amérique… C’était l’époque des procès de la commission sur les Activités anti-américaines et les super-héros n’y échappèrent pas. L’une des personnes appelée à comparaître était Silver Soldier, un ancien membre de la Brigade Atomique avec sans aucun doute des penchants plutôt à gauche. Quand Soldier quitta l’audience et jeta à la presse « qu’il allait s’enfuir pour devenir un super-criminel puisque ce pays n’appréciait visiblement plus ses héros », le comité ordonna son arrestation.
Jack tenta d’intercepter son camarade quelque peu impulsif avant qu’une tragédie n’arrive mais une confrontation avec la presse déclencha un désastreux incident. L’arme de Silver Soldier déclencha un incendie qui eu pour conséquence la destruction de plusieurs bâtiments publics. Malgré la demande de Jack d’indulgence, la commission HUAC et les autorités locales durent impitoyables. Il fut démasqué et révélé sous l’identité de Todd Montgomery et condamné à 10 ans de travaux forcés. La révélation que les membres de « l’équipe de Patriote » étaient des « communistes destructeurs » intensifia la pression sur les super-héros. Il y eu même des demandes pour que Patriote lui-même soit entendu devant la commission et qu’on purge la présence de « communistes d’élite » des forces armées. Cela mena à la Terreur Rouge et les membres de la Liberty League n’y échappèrent pas.
La dissolution publique de la Liberty League fit perdre de vue le rôle de Jack dans l’affaire mais cela laissait définitivement un goût amer au Patriote. Lorsqu’on parlait de suprahumains, le système actuel n’était définitivement pas adapté. L’Amérique avait besoin d’une force de sécurité qui se spécialiserait dans les Suprahumains, mais également une force qui resterait également à distance de ce que Jack appelait « les ennemis flagrants et pernicieux ». Simmons imaginait une organisation qui prendrait les meilleurs talents des agences de sécurité et militaires, qui travaillerait de concert avec les super-héros respectables et bien établis pour défendre le pays. Il utilisa les mêmes compétences stratégiques qu’il avait utilisées contre les nazis. Simmons mit au point un plan pour créer un meilleur système de police Suprahumaine.
Il commença à utiliser ses relations militaires pour sélectionner soigneusement les meilleurs de chaque branches des différents services et agences de sécurité, recherchant ceux qui démontraient de l’initiative et de la compétence. Simmons disaient toujours « un soldat avec de la cervelle et un peu de fanfaronnade battra toujours un drone obéissant à chaque fois ». Il ne savait pas à quel points ses mots seraient ironiques.
En 1958 le projet de Simmons commença à porter ses fruits. Il avait reçu l’autorisation de l’administration Eisenhower de mettre en place une force d’intervention de 40 agents qui servirait de forces de missions spéciales. Cela fit rire beaucoup de personnes, les huiles, disaient Simmons, avaient fouillé dans chaque prison les plus insubordonnées des soldats de tous les services. Simmons choisissait des hommes (et plus d’une femme) qui n’avaient pas peur de dire ce qu’ils pensaient et qui pouvaient refuser des ordres si ceux ci étaient de mauvaises décisions. Une fois l’équipe assemble, deux années d’entraînement intense commença.
Le 24 juin 1960, la force d’intervention de Simmons fut placé (pour des raisons compréhensible seulement des bureaucrates), sous l’autorité de l’IRS et appelé « American Elite Gouvernement Intervention Service » et un espace administratif lui fut attribué dans le Bâtiment du Trésor. Les critiques sur Simmons se moquèrent du nom et prédirent que la « washout brigade » ne durerais pas 6 mois.
Point de départ
Derrière la scène cependant Simmons avait déjà bougé quelques pièce qui q’avèreraient critique dans le succès d’AEGIS. En premier lieu il se servit de ses contacts à la CIA et au FBI pour recruter de bons policiers en complément de ses soldats. A chaque fois que cela serait possible, AEGIS aurait les meilleurs renseignements avant d’agir.
Il utilisa ensuite ses amitiés dans la communauté super-héroïque pour établir des contacts avec la dernière génération de super-héros, proposant des partenariats secrets. Maintenant, Jack leur promit, quelqu’un dans les sphères du gouvernement lutterait pour les droits des super-héros dans l’éventualité d’une nouvelle chasse aux sorcières. Centurion accepta, enthousiaste et à sa suite, beaucoup d’autres héros acceptèrent de collaborer. Dont l’un des nouveau super-héros de Freedom City, Scarab, qui se révélera être un atout précieux.
L’épreuve du feu arriva en 1961, lorsque SHADOW lança la première opération Inondation. Un plan audacieux pour prendre le contrôle simultanément de toutes les institutions majeures du monde occidental. Les talents psychique de Scarab l’avait prévenu d’un danger imminent mais personne au gouvernement ne voulu écouter, à part Jack Simmons. Simmons mobilisa les forces d’AEGIS pour protéger les installations clés Américaines lorsque l’heure de l’attaque arriverait. Mais il fut plus, il contacta ses amis dans les forces armées à travers le monde pour les avertir du danger allant jusqu’à risquer sa propre réputation pour que leurs forces soient mises en état d’alerte. L’attaque de SHADOW fut plus intense que ce que Scarab avait craint mais à la fin, ce fut AEGIS qui sauva tout le monde.
Les enquêteurs d’AEGIS traquèrent SHADOW jusque dans la propriété de Virginie du docteur Jonathan Darke, où cette homme, sans doute le commandant suprême de SHADOW fut tué dans l’affrontement qui suivit. Le monde célébra cette victoire, les critiques se turent et les « Contraterror Cowboys » (nom dérisoire donné à AEGIS) avaient gagné le respect.
AEGIS fut glorifié mais pas respecté par tout le monde. Pour mettre fin d’avantage aux critiques, Simmons insista pour qu’AEGIS s’occupe des affaires les plus dures qui puissent être trouvées (La plupart impliquant des super-criminels ou le paranormal). Pendant des décades, AEGIS affronta une pléthore d’organisations avec des motivations étrange : Counter-Clock Culture, Apocalypse Today !, The Secret Society of Firebrands, The Green Liberation Front (une société secrète de mutants à peau verte persuadé que leur pigmentation faisait d’eux la « race superieure ») et Invisible Inc. Ils s’opposèrent à des super-criminels comme le tueur en série Gemini, le catastrophique Exploding Man, et le mystérieux M. Infamy. Ils travaillèrent de concert avec Centurion, Scarab, la Freedom League et la Famille Atom.
En 1970, AEGIS s’était étendu à un millier de personnel incluant un jeune diplômé de Georgetown nommé Harry Powers, dont les compétences d’investigations doublé de son audace en firent l’un des éléments les plus doué de l’agence. AEGIS établit également des liens avec le Canada et le Royaume Uni
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